La période hivernale et le manque d’ensoleillement provoquent souvent des dysfonctionnements sur le bon fonctionnement de notre organisme. En Suisse, la carence en vitamine D due au manque d’ensoleillement provoque des troubles tels que la dépression saisonnière. Portée à hauteur de 60 %, l’insuffisance en vitamine D est pourtant remédiable avec de nombreuses méthodes naturelles.
Touchant près de 60 % de la population suisse, les troubles engendrés par le manque de vitamine D par luminescence touchent plus de la moitié de la population dans les périodes hivernales. Un remède subsiste dans la luminothérapie. Le principe est simple, s’exposer à la lumière de lampe spéciale imitant les rayons du soleil à hauteur de 30 à 120 minutes selon le type de lampe.
Sous condition, la thérapie par luminescence est couverte par l’assurance maladie de base, la LAMal. D’une certaine manière, la thérapie est couverte si la déficience en vitamine D provoque chez le patient des troubles dépressifs et que ceci est validé par un médecin reconnu.
La LAMal a mis en place deux modes de remboursement, soit journalière d’une valeur de 1,80 franc, soit sur un montant maximal de 350 francs. Pour plus de renseignements, il est préférable de solliciter sa caisse maladie.
Encore appelé SAD ou Seasonal Affective Disorder, l’hiver est une saison dépressive. En plus des problèmes liés au manque de soleil comme le trouble du sommeil ainsi que la carence en vitamine D. d’autres pathologies existent et sont inscrits dans une assurance complémentaire “Médecine alternative”.
Très aggravés par les situations sanitaires de 2020, les problèmes psychologiques ont été enregistrés avec des cas d’angoisse et de peur très prononcés. Inscrit dans les traitements encadrés par une assurance complémentaire “Médecines Alternatives”, les thérapies psychologiques regroupent les thérapies faites par les psychologues, les psychothérapeutes et les psychanalystes.
La sophrologie consiste en l’application de diverses techniques afin de retrouver l’équilibre mental et ainsi agir sur la forme physique. Longtemps considéré comme n’étant pas une thérapie, il est maintenant de plus en plus adopté par la population suisse, et ces méthodes gagnent en ampleur. D’une manière générale, l’assurance ne prend que 75 % de la charge d’une séance.
Longtemps non reconnue par le corps médical, la technique est aujourd’hui utilisée dans diverses branches de la médecine pour apaiser les patients. Mais il faut souligner que l’hypnose n’est pas une thérapie médicale en soi puisque le traitant peut être non médecin. Dans le cas d’un traitement par médecin, l’assurance maladie de base la LAMal prendra en charge les frais. Dans le cas d’un traitement par un thérapeute non médecin, comme toute pratique issue d’un milieu non médical, la prise en charge passe par une assurance complémentaire.
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